

Cliquez sur les éléments de l’Arc du Carrousel afin de le découvrir dans les moindres détails.
















Retour
Cuirassier du 7ème régiment par Auguste-Marie TAUNAY
Représentant les différentes armes de la Grande Armée dans leurs uniformes respectifs (l’Infanterie, l’Artillerie, le Génie, la Cavalerie), ces effigies vigoureuses et grandioses sont aisément reconnaissables à la forme de leurs casques, de leurs bottes et à leurs uniformes. Elles sont dues aux plus grands sculpteurs de l’époque, certains lauréats du Grand Prix de sculpture. Ces derniers travaillèrent d’après des dessins très détaillés du peintre Charles Meynier qui avait pu disposer de l’importante collection de gravures et de relevés rassemblée par Dominique Vivant Denon. C’est Napoléon Ier lui-même qui fit le choix des régiments à représenter et donc à honorer. D’un réalisme saisissant, ces statues monumentales scandalisèrent les membres de l’Institut par l’abondance de détails vestimentaires jugés triviaux et leur sujet même : de simples soldats.

Retour
Dragon par Charles Louis CORBET
Représentant les différentes armes de la Grande Armée dans leurs uniformes respectifs (l’Infanterie, l’Artillerie, le Génie, la Cavalerie), ces effigies vigoureuses et grandioses sont aisément reconnaissables à la forme de leurs casques, de leurs bottes et à leurs uniformes. Elles sont dues aux plus grands sculpteurs de l’époque, certains lauréats du Grand Prix de sculpture. Ces derniers travaillèrent d’après des dessins très détaillés du peintre Charles Meynier qui avait pu disposer de l’importante collection de gravures et de relevés rassemblée par Dominique Vivant Denon. C’est Napoléon Ier lui-même qui fit le choix des régiments à représenter et donc à honorer. D’un réalisme saisissant, ces statues monumentales scandalisèrent les membres de l’Institut par l’abondance de détails vestimentaires jugés triviaux et leur sujet même : de simples soldats.

Retour
Chasseur à cheval par Jean-Joseph FOUCOU
Représentant les différentes armes de la Grande Armée dans leurs uniformes respectifs (l’Infanterie, l’Artillerie, le Génie, la Cavalerie), ces effigies vigoureuses et grandioses sont aisément reconnaissables à la forme de leurs casques, de leurs bottes et à leurs uniformes. Elles sont dues aux plus grands sculpteurs de l’époque, certains lauréats du Grand Prix de sculpture. Ces derniers travaillèrent d’après des dessins très détaillés du peintre Charles Meynier qui avait pu disposer de l’importante collection de gravures et de relevés rassemblée par Dominique Vivant Denon. C’est Napoléon Ier lui-même qui fit le choix des régiments à représenter et donc à honorer. D’un réalisme saisissant, ces statues monumentales scandalisèrent les membres de l’Institut par l’abondance de détails vestimentaires jugés triviaux et leur sujet même : de simples soldats.

Retour
Grenadier à cheval par Joseph CHINARD
Représentant les différentes armes de la Grande Armée dans leurs uniformes respectifs (l’Infanterie, l’Artillerie, le Génie, la Cavalerie), ces effigies vigoureuses et grandioses sont aisément reconnaissables à la forme de leurs casques, de leurs bottes et à leurs uniformes. Elles sont dues aux plus grands sculpteurs de l’époque, certains lauréats du Grand Prix de sculpture. Ces derniers travaillèrent d’après des dessins très détaillés du peintre Charles Meynier qui avait pu disposer de l’importante collection de gravures et de relevés rassemblée par Dominique Vivant Denon. C’est Napoléon Ier lui-même qui fit le choix des régiments à représenter et donc à honorer. D’un réalisme saisissant, ces statues monumentales scandalisèrent les membres de l’Institut par l’abondance de détails vestimentaires jugés triviaux et leur sujet même : de simples soldats.

Retour
Renommée, La Paix par François-Frédéric LEMOT
En 1808, au sommet de l’arc, est installé le groupe des chevaux de Saint-Marc, confisqué à Venise par les armées révolutionnaires lors de la première campagne d’Italie. L’ensemble est complété par la Paix et la Victoire dues au sculpteur Lemot.
Cependant, la décoration sculptée de l’arc va évoluer au rythme des soubresauts politiques du XIXe siècle. Ainsi, en 1815, à la chute de l’Empire, les chevaux de Saint-Marc regagnent l’Italie.
En 1827, c’est finalement le sculpteur Bosio qui est désigné par le roi Charles X pour créer un nouveau quadrige inspiré par le prestigieux groupe antique, et fondu par Charles Crozatier.
L’attelage est dirigé par une figure féminine, la Restauration, accompagnée des deux victoires de Lemot.

Retour
Renommée, La Victoire par François-Frédéric LEMOT
En 1808, au sommet de l’arc, est installé le groupe des chevaux de Saint-Marc, confisqué à Venise par les armées révolutionnaires lors de la première campagne d’Italie. L’ensemble est complété par la Paix et la Victoire dues au sculpteur Lemot.
Cependant, la décoration sculptée de l’arc va évoluer au rythme des soubresauts politiques du XIXe siècle. Ainsi, en 1815, à la chute de l’Empire, les chevaux de Saint-Marc regagnent l’Italie.
En 1827, c’est finalement le sculpteur Bosio qui est désigné par le roi Charles X pour créer un nouveau quadrige inspiré par le prestigieux groupe antique, et fondu par Charles Crozatier.
L’attelage est dirigé par une figure féminine, la Restauration, accompagnée des deux victoires de Lemot.

Retour
Chevaux par François-Joseph BOSIO
En 1808, au sommet de l’arc, est installé le groupe des chevaux de Saint-Marc, confisqué à Venise par les armées révolutionnaires lors de la première campagne d’Italie. L’ensemble est complété par la Paix et la Victoire dues au sculpteur Lemot.
Cependant, la décoration sculptée de l’arc va évoluer au rythme des soubresauts politiques du XIXe siècle. Ainsi, en 1815, à la chute de l’Empire, les chevaux de Saint-Marc regagnent l’Italie.
En 1827, c’est finalement le sculpteur Bosio qui est désigné par le roi Charles X pour créer un nouveau quadrige inspiré par le prestigieux groupe antique, et fondu par Charles Crozatier.
L’attelage est dirigé par une figure féminine, la Restauration, accompagnée des deux victoires de Lemot.

Retour
La Restauration par François-Joseph BOSIO
En 1808, au sommet de l’arc, est installé le groupe des chevaux de Saint-Marc, confisqué à Venise par les armées révolutionnaires lors de la première campagne d’Italie. L’ensemble est complété par la Paix et la Victoire dues au sculpteur Lemot.
Cependant, la décoration sculptée de l’arc va évoluer au rythme des soubresauts politiques du XIXe siècle. Ainsi, en 1815, à la chute de l’Empire, les chevaux de Saint-Marc regagnent l’Italie.
En 1827, c’est finalement le sculpteur Bosio qui est désigné par le roi Charles X pour créer un nouveau quadrige inspiré par le prestigieux groupe antique, et fondu par Charles Crozatier.
L’attelage est dirigé par une figure féminine, la Restauration, accompagnée des deux victoires de Lemot.

Retour
Les armes de l’Empire français par Auguste Félix FORTIN
L’arc est orné sur ces quatre faces de reliefs illustrant la campagne d’Autriche. Le choix des épisodes représentés marque certes une volonté de glorification des conquêtes militaires de l’Empereur mais associée à l’idée de paix : aucune scène de bataille mais toujours les épisodes pacifiques qui les concluent, le calme des traités plutôt que l’agitation des engagements militaires. Même la grande victoire d’Austerlitz est évoquée par l’entrevue postérieure aux combats. Les sculpteurs travaillèrent d’après des modèles dessinés par le peintre Charles Meynier et respectèrent à la lettre les principes du bas-relief classique, tel qu’il était enseigné à l’Ecole des Beaux-Arts. Tous les personnages ont ainsi la tête au même niveau, située sur une même ligne. Les plans sont réduits à l’indispensable, les attitudes sont calmes et nobles et l’accent est mis sur les personnages essentiels à la gestuelle éloquente. D’une grande efficacité narrative, ces reliefs consacrent l’irruption novatrice de l’actualité dans la statuaire.

Retour
Les armes d’Italie par Antoine François GERARD
L’arc est orné sur ces quatre faces de reliefs illustrant la campagne d’Autriche. Le choix des épisodes représentés marque certes une volonté de glorification des conquêtes militaires de l’Empereur mais associée à l’idée de paix : aucune scène de bataille mais toujours les épisodes pacifiques qui les concluent, le calme des traités plutôt que l’agitation des engagements militaires. Même la grande victoire d’Austerlitz est évoquée par l’entrevue postérieure aux combats. Les sculpteurs travaillèrent d’après des modèles dessinés par le peintre Charles Meynier et respectèrent à la lettre les principes du bas-relief classique, tel qu’il était enseigné à l’Ecole des Beaux-Arts. Tous les personnages ont ainsi la tête au même niveau, située sur une même ligne. Les plans sont réduits à l’indispensable, les attitudes sont calmes et nobles et l’accent est mis sur les personnages essentiels à la gestuelle éloquente. D’une grande efficacité narrative, ces reliefs consacrent l’irruption novatrice de l’actualité dans la statuaire.

Retour
Génies supportant des guirlandes de lauriers par Auguste-Marie TAUNAY
L’arc est orné sur ces quatre faces de reliefs illustrant la campagne d’Autriche. Le choix des épisodes représentés marque certes une volonté de glorification des conquêtes militaires de l’Empereur mais associée à l’idée de paix : aucune scène de bataille mais toujours les épisodes pacifiques qui les concluent, le calme des traités plutôt que l’agitation des engagements militaires. Même la grande victoire d’Austerlitz est évoquée par l’entrevue postérieure aux combats. Les sculpteurs travaillèrent d’après des modèles dessinés par le peintre Charles Meynier et respectèrent à la lettre les principes du bas-relief classique, tel qu’il était enseigné à l’Ecole des Beaux-Arts. Tous les personnages ont ainsi la tête au même niveau, située sur une même ligne. Les plans sont réduits à l’indispensable, les attitudes sont calmes et nobles et l’accent est mis sur les personnages essentiels à la gestuelle éloquente. D’une grande efficacité narrative, ces reliefs consacrent l’irruption novatrice de l’actualité dans la statuaire.

Retour
Capitulation devant ULM par Pierre CARTELLIER
L’arc est orné sur ces quatre faces de reliefs illustrant la campagne d’Autriche. Le choix des épisodes représentés marque certes une volonté de glorification des conquêtes militaires de l’Empereur mais associée à l’idée de paix : aucune scène de bataille mais toujours les épisodes pacifiques qui les concluent, le calme des traités plutôt que l’agitation des engagements militaires. Même la grande victoire d’Austerlitz est évoquée par l’entrevue postérieure aux combats. Les sculpteurs travaillèrent d’après des modèles dessinés par le peintre Charles Meynier et respectèrent à la lettre les principes du bas-relief classique, tel qu’il était enseigné à l’Ecole des Beaux-Arts. Tous les personnages ont ainsi la tête au même niveau, située sur une même ligne. Les plans sont réduits à l’indispensable, les attitudes sont calmes et nobles et l’accent est mis sur les personnages essentiels à la gestuelle éloquente. D’une grande efficacité narrative, ces reliefs consacrent l’irruption novatrice de l’actualité dans la statuaire.

Retour
Entrevue de paix après la bataille d’Austerlitz par Jean-Joseph ESPERCIEUX
L’arc est orné sur ces quatre faces de reliefs illustrant la campagne d’Autriche. Le choix des épisodes représentés marque certes une volonté de glorification des conquêtes militaires de l’Empereur mais associée à l’idée de paix : aucune scène de bataille mais toujours les épisodes pacifiques qui les concluent, le calme des traités plutôt que l’agitation des engagements militaires. Même la grande victoire d’Austerlitz est évoquée par l’entrevue postérieure aux combats. Les sculpteurs travaillèrent d’après des modèles dessinés par le peintre Charles Meynier et respectèrent à la lettre les principes du bas-relief classique, tel qu’il était enseigné à l’Ecole des Beaux-Arts. Tous les personnages ont ainsi la tête au même niveau, située sur une même ligne. Les plans sont réduits à l’indispensable, les attitudes sont calmes et nobles et l’accent est mis sur les personnages essentiels à la gestuelle éloquente. D’une grande efficacité narrative, ces reliefs consacrent l’irruption novatrice de l’actualité dans la statuaire.

Retour
Deux renommées par Antoine-Léonard DUPASQUIER
L’arc est orné sur ces quatre faces de reliefs illustrant la campagne d’Autriche. Le choix des épisodes représentés marque certes une volonté de glorification des conquêtes militaires de l’Empereur mais associée à l’idée de paix : aucune scène de bataille mais toujours les épisodes pacifiques qui les concluent, le calme des traités plutôt que l’agitation des engagements militaires. Même la grande victoire d’Austerlitz est évoquée par l’entrevue postérieure aux combats. Les sculpteurs travaillèrent d’après des modèles dessinés par le peintre Charles Meynier et respectèrent à la lettre les principes du bas-relief classique, tel qu’il était enseigné à l’Ecole des Beaux-Arts. Tous les personnages ont ainsi la tête au même niveau, située sur une même ligne. Les plans sont réduits à l’indispensable, les attitudes sont calmes et nobles et l’accent est mis sur les personnages essentiels à la gestuelle éloquente. D’une grande efficacité narrative, ces reliefs consacrent l’irruption novatrice de l’actualité dans la statuaire.

Retour
Trophées d’armes par François (?) MONTPELLIR
L’arc est orné sur ces quatre faces de reliefs illustrant la campagne d’Autriche. Le choix des épisodes représentés marque certes une volonté de glorification des conquêtes militaires de l’Empereur mais associée à l’idée de paix : aucune scène de bataille mais toujours les épisodes pacifiques qui les concluent, le calme des traités plutôt que l’agitation des engagements militaires. Même la grande victoire d’Austerlitz est évoquée par l’entrevue postérieure aux combats. Les sculpteurs travaillèrent d’après des modèles dessinés par le peintre Charles Meynier et respectèrent à la lettre les principes du bas-relief classique, tel qu’il était enseigné à l’Ecole des Beaux-Arts. Tous les personnages ont ainsi la tête au même niveau, située sur une même ligne. Les plans sont réduits à l’indispensable, les attitudes sont calmes et nobles et l’accent est mis sur les personnages essentiels à la gestuelle éloquente. D’une grande efficacité narrative, ces reliefs consacrent l’irruption novatrice de l’actualité dans la statuaire.

Retour
La Paix de Presbourg par Jacques-Philippe LESUEUR
Représentant les différentes armes de la Grande Armée dans leurs uniformes respectifs (l’Infanterie, l’Artillerie, le Génie, la Cavalerie), ces effigies vigoureuses et grandioses sont aisément reconnaissables à la forme de leurs casques, de leurs bottes et à leurs uniformes. Elles sont dues aux plus grands sculpteurs de l’époque, certains lauréats du Grand Prix de sculpture. Ces derniers travaillèrent d’après des dessins très détaillés du peintre Charles Meynier qui avait pu disposer de l’importante collection de gravures et de relevés rassemblée par Dominique Vivant Denon. C’est Napoléon Ier lui-même qui fit le choix des régiments à représenter et donc à honorer. D’un réalisme saisissant, ces statues monumentales scandalisèrent les membres de l’Institut par l’abondance de détails vestimentaires jugés triviaux et leur sujet même : de simples soldats.

Retour
Grenadier d’infanterie de ligne par Robert-Guillaume DARDEL
Représentant les différentes armes de la Grande Armée dans leurs uniformes respectifs (l’Infanterie, l’Artillerie, le Génie, la Cavalerie), ces effigies vigoureuses et grandioses sont aisément reconnaissables à la forme de leurs casques, de leurs bottes et à leurs uniformes. Elles sont dues aux plus grands sculpteurs de l’époque, certains lauréats du Grand Prix de sculpture. Ces derniers travaillèrent d’après des dessins très détaillés du peintre Charles Meynier qui avait pu disposer de l’importante collection de gravures et de relevés rassemblée par Dominique Vivant Denon. C’est Napoléon Ier lui-même qui fit le choix des régiments à représenter et donc à honorer. D’un réalisme saisissant, ces statues monumentales scandalisèrent les membres de l’Institut par l’abondance de détails vestimentaires jugés triviaux et leur sujet même : de simples soldats.

Retour
Carabinier de l’Infanterie légère par Antoine MOUTON
Représentant les différentes armes de la Grande Armée dans leurs uniformes respectifs (l’Infanterie, l’Artillerie, le Génie, la Cavalerie), ces effigies vigoureuses et grandioses sont aisément reconnaissables à la forme de leurs casques, de leurs bottes et à leurs uniformes. Elles sont dues aux plus grands sculpteurs de l’époque, certains lauréats du Grand Prix de sculpture. Ces derniers travaillèrent d’après des dessins très détaillés du peintre Charles Meynier qui avait pu disposer de l’importante collection de gravures et de relevés rassemblée par Dominique Vivant Denon. C’est Napoléon Ier lui-même qui fit le choix des régiments à représenter et donc à honorer. D’un réalisme saisissant, ces statues monumentales scandalisèrent les membres de l’Institut par l’abondance de détails vestimentaires jugés triviaux et leur sujet même : de simples soldats.

Retour
Canonnier du premier régiment par Charles-Antoine BRIDAN
Représentant les différentes armes de la Grande Armée dans leurs uniformes respectifs (l’Infanterie, l’Artillerie, le Génie, la Cavalerie), ces effigies vigoureuses et grandioses sont aisément reconnaissables à la forme de leurs casques, de leurs bottes et à leurs uniformes. Elles sont dues aux plus grands sculpteurs de l’époque, certains lauréats du Grand Prix de sculpture. Ces derniers travaillèrent d’après des dessins très détaillés du peintre Charles Meynier qui avait pu disposer de l’importante collection de gravures et de relevés rassemblée par Dominique Vivant Denon. C’est Napoléon Ier lui-même qui fit le choix des régiments à représenter et donc à honorer. D’un réalisme saisissant, ces statues monumentales scandalisèrent les membres de l’Institut par l’abondance de détails vestimentaires jugés triviaux et leur sujet même : de simples soldats.

Retour
Sapeur du premier régiment de ligne par Jacques-Edme DUMONT
Représentant les différentes armes de la Grande Armée dans leurs uniformes respectifs (l’Infanterie, l’Artillerie, le Génie, la Cavalerie), ces effigies vigoureuses et grandioses sont aisément reconnaissables à la forme de leurs casques, de leurs bottes et à leurs uniformes. Elles sont dues aux plus grands sculpteurs de l’époque, certains lauréats du Grand Prix de sculpture. Ces derniers travaillèrent d’après des dessins très détaillés du peintre Charles Meynier qui avait pu disposer de l’importante collection de gravures et de relevés rassemblée par Dominique Vivant Denon. C’est Napoléon Ier lui-même qui fit le choix des régiments à représenter et donc à honorer. D’un réalisme saisissant, ces statues monumentales scandalisèrent les membres de l’Institut par l’abondance de détails vestimentaires jugés triviaux et leur sujet même : de simples soldats.

Retour
Les armes de l’Empire français par Jacques-Edme DUMONT
L’arc est orné sur ces quatre faces de reliefs illustrant la campagne d’Autriche. Le choix des épisodes représentés marque certes une volonté de glorification des conquêtes militaires de l’Empereur mais associée à l’idée de paix : aucune scène de bataille mais toujours les épisodes pacifiques qui les concluent, le calme des traités plutôt que l’agitation des engagements militaires. Même la grande victoire d’Austerlitz est évoquée par l’entrevue postérieure aux combats. Les sculpteurs travaillèrent d’après des modèles dessinés par le peintre Charles Meynier et respectèrent à la lettre les principes du bas-relief classique, tel qu’il était enseigné à l’Ecole des Beaux-Arts. Tous les personnages ont ainsi la tête au même niveau, située sur une même ligne. Les plans sont réduits à l’indispensable, les attitudes sont calmes et nobles et l’accent est mis sur les personnages essentiels à la gestuelle éloquente. D’une grande efficacité narrative, ces reliefs consacrent l’irruption novatrice de l’actualité dans la statuaire.

Retour
Les armes d’Italie par Charles-Antoine CALLAMARD
L’arc est orné sur ces quatre faces de reliefs illustrant la campagne d’Autriche. Le choix des épisodes représentés marque certes une volonté de glorification des conquêtes militaires de l’Empereur mais associée à l’idée de paix : aucune scène de bataille mais toujours les épisodes pacifiques qui les concluent, le calme des traités plutôt que l’agitation des engagements militaires. Même la grande victoire d’Austerlitz est évoquée par l’entrevue postérieure aux combats. Les sculpteurs travaillèrent d’après des modèles dessinés par le peintre Charles Meynier et respectèrent à la lettre les principes du bas-relief classique, tel qu’il était enseigné à l’Ecole des Beaux-Arts. Tous les personnages ont ainsi la tête au même niveau, située sur une même ligne. Les plans sont réduits à l’indispensable, les attitudes sont calmes et nobles et l’accent est mis sur les personnages essentiels à la gestuelle éloquente. D’une grande efficacité narrative, ces reliefs consacrent l’irruption novatrice de l’actualité dans la statuaire.

Retour
L’entrée à Munich par Claude MICHEL, dit CLODION
L’arc est orné sur ces quatre faces de reliefs illustrant la campagne d’Autriche. Le choix des épisodes représentés marque certes une volonté de glorification des conquêtes militaires de l’Empereur mais associée à l’idée de paix : aucune scène de bataille mais toujours les épisodes pacifiques qui les concluent, le calme des traités plutôt que l’agitation des engagements militaires. Même la grande victoire d’Austerlitz est évoquée par l’entrevue postérieure aux combats. Les sculpteurs travaillèrent d’après des modèles dessinés par le peintre Charles Meynier et respectèrent à la lettre les principes du bas-relief classique, tel qu’il était enseigné à l’Ecole des Beaux-Arts. Tous les personnages ont ainsi la tête au même niveau, située sur une même ligne. Les plans sont réduits à l’indispensable, les attitudes sont calmes et nobles et l’accent est mis sur les personnages essentiels à la gestuelle éloquente. D’une grande efficacité narrative, ces reliefs consacrent l’irruption novatrice de l’actualité dans la statuaire.

Retour
Entrevue des deux empereurs par Claude RAMEY (père)
L’arc est orné sur ces quatre faces de reliefs illustrant la campagne d’Autriche. Le choix des épisodes représentés marque certes une volonté de glorification des conquêtes militaires de l’Empereur mais associée à l’idée de paix : aucune scène de bataille mais toujours les épisodes pacifiques qui les concluent, le calme des traités plutôt que l’agitation des engagements militaires. Même la grande victoire d’Austerlitz est évoquée par l’entrevue postérieure aux combats. Les sculpteurs travaillèrent d’après des modèles dessinés par le peintre Charles Meynier et respectèrent à la lettre les principes du bas-relief classique, tel qu’il était enseigné à l’Ecole des Beaux-Arts. Tous les personnages ont ainsi la tête au même niveau, située sur une même ligne. Les plans sont réduits à l’indispensable, les attitudes sont calmes et nobles et l’accent est mis sur les personnages essentiels à la gestuelle éloquente. D’une grande efficacité narrative, ces reliefs consacrent l’irruption novatrice de l’actualité dans la statuaire.

Retour
Renommées par Auguste-Marie TAUNAY
L’arc est orné sur ces quatre faces de reliefs illustrant la campagne d’Autriche. Le choix des épisodes représentés marque certes une volonté de glorification des conquêtes militaires de l’Empereur mais associée à l’idée de paix : aucune scène de bataille mais toujours les épisodes pacifiques qui les concluent, le calme des traités plutôt que l’agitation des engagements militaires. Même la grande victoire d’Austerlitz est évoquée par l’entrevue postérieure aux combats. Les sculpteurs travaillèrent d’après des modèles dessinés par le peintre Charles Meynier et respectèrent à la lettre les principes du bas-relief classique, tel qu’il était enseigné à l’Ecole des Beaux-Arts. Tous les personnages ont ainsi la tête au même niveau, située sur une même ligne. Les plans sont réduits à l’indispensable, les attitudes sont calmes et nobles et l’accent est mis sur les personnages essentiels à la gestuelle éloquente. D’une grande efficacité narrative, ces reliefs consacrent l’irruption novatrice de l’actualité dans la statuaire.

Retour
Trophées d’armes par François (?) MONTPELLIR
L’arc est orné sur ces quatre faces de reliefs illustrant la campagne d’Autriche. Le choix des épisodes représentés marque certes une volonté de glorification des conquêtes militaires de l’Empereur mais associée à l’idée de paix : aucune scène de bataille mais toujours les épisodes pacifiques qui les concluent, le calme des traités plutôt que l’agitation des engagements militaires. Même la grande victoire d’Austerlitz est évoquée par l’entrevue postérieure aux combats. Les sculpteurs travaillèrent d’après des modèles dessinés par le peintre Charles Meynier et respectèrent à la lettre les principes du bas-relief classique, tel qu’il était enseigné à l’Ecole des Beaux-Arts. Tous les personnages ont ainsi la tête au même niveau, située sur une même ligne. Les plans sont réduits à l’indispensable, les attitudes sont calmes et nobles et l’accent est mis sur les personnages essentiels à la gestuelle éloquente. D’une grande efficacité narrative, ces reliefs consacrent l’irruption novatrice de l’actualité dans la statuaire.

Retour
Trophées d’armes par François (?) MONTPELLIR
L’arc est orné sur ces quatre faces de reliefs illustrant la campagne d’Autriche. Le choix des épisodes représentés marque certes une volonté de glorification des conquêtes militaires de l’Empereur mais associée à l’idée de paix : aucune scène de bataille mais toujours les épisodes pacifiques qui les concluent, le calme des traités plutôt que l’agitation des engagements militaires. Même la grande victoire d’Austerlitz est évoquée par l’entrevue postérieure aux combats. Les sculpteurs travaillèrent d’après des modèles dessinés par le peintre Charles Meynier et respectèrent à la lettre les principes du bas-relief classique, tel qu’il était enseigné à l’Ecole des Beaux-Arts. Tous les personnages ont ainsi la tête au même niveau, située sur une même ligne. Les plans sont réduits à l’indispensable, les attitudes sont calmes et nobles et l’accent est mis sur les personnages essentiels à la gestuelle éloquente. D’une grande efficacité narrative, ces reliefs consacrent l’irruption novatrice de l’actualité dans la statuaire.

Retour
L’entrée à Vienne par Louis-Pierre DESEINE
L’arc est orné sur ces quatre faces de reliefs illustrant la campagne d’Autriche. Le choix des épisodes représentés marque certes une volonté de glorification des conquêtes militaires de l’Empereur mais associée à l’idée de paix : aucune scène de bataille mais toujours les épisodes pacifiques qui les concluent, le calme des traités plutôt que l’agitation des engagements militaires. Même la grande victoire d’Austerlitz est évoquée par l’entrevue postérieure aux combats. Les sculpteurs travaillèrent d’après des modèles dessinés par le peintre Charles Meynier et respectèrent à la lettre les principes du bas-relief classique, tel qu’il était enseigné à l’Ecole des Beaux-Arts. Tous les personnages ont ainsi la tête au même niveau, située sur une même ligne. Les plans sont réduits à l’indispensable, les attitudes sont calmes et nobles et l’accent est mis sur les personnages essentiels à la gestuelle éloquente. D’une grande efficacité narrative, ces reliefs consacrent l’irruption novatrice de l’actualité dans la statuaire.